Bonjour cher administrateurs du noble serveur qu'est The Elder Prophecy !
Si je me présente a vous aujourd'hui, c'est bien sur pour vous faire pas de ma motivation pour rejoindre ce serveur. Ma candidature se composera en 2 parties, une petite présentation de moi-même (in-game et IRL) et un rp
.
Mon pseudo in game est donc ThePulpman1324, j'ai quatorze ans et cella fait environ 4 ans maintenant que je au joue au parfait jeu qu'est MINECRAFT ! Dans le jeu, j'apprécie énormément le coté RP qu'il propose et j'aime aussi particulièrement faire d'énormes construction épique du feux de dieu ! Si je suis accepté sur le serveur, je pense ajouté une touche d'humour a la communauté. Je sais aussi respecter des constructions quand j'en vois, et je pense que le grief et une des chose les pus pitoyable et ridicule que la communauté minecraft est créée... Je trouve aussi complètement nul les arnaque entre joueurs et je promet de respecter le serveur s'il est de qualité ! Sinon j'ai aussi un compte Skype actif et munble s'il faut me contacter pour une raison ou une autre, je joue régulièrement et dans les environ d'une heure par jours. J’espère aussi rejoindre une faction rapidement car le système de solidarité dans un groupe me plait particulièrement !!
Voici donc mon RP (qui ma aussi servi de rédaction de français donc le sujet et plus ou moins adaptés a une candidature
pour rejoindre un serveur! )
Nous étions en 1??? à la fin de la révolution . Dans la région , un grand nombre de villages avait été détruit ce qui força leurs habitants à fuir et de nombreuses familles c'étaient retrouvées sans toit du jour au lendemain .
Heureusement , un gentilhomme comme il n'y en a plus , c' était le comte De Lavaloi , avait accueilli dans son manoir au bord de la Seine , très à l' Est de Paris , plusieurs familles dont les Mafrenge et Leroy . Malheureusement ces deux familles se détestaient , et pour cause! Les Mafrenge étaient une pauvre famille de paysans sans terre et les Leroy , des petits bourgeois de campagne . Depuis plusieurs siècles , si on en croyait les légendes urbaines, ces deux familles s' entretuaient pour une histoire d'enfant disparu dans des circonstances douteuses . Je vous ai conté l' histoire de ces deux familles car ce que m'a raconté le sieur De Lavaloi avant sa mort tragique , a pour sujet ces deux familles .
Un jour que notre homme errait dans les jardin de son manoir tard le soir , il surpris les pères des deux familles en question s' entretenir violemment . D' après lui , ils parlaient d'un coffre avec une « réponse >> à l' intérieur . Avant que les deux hommes n 'en viennent au main , De Lavaloi les retenus et les envoya se coucher . Il ne put pas dormir de la nuit ,car cette histoire le tracassait et il avait déjà entendu des membres de ces deux étranges familles s'entretenir sur un sujet pour le moins anormal . Il décida d 'aller voir ce qu'il se tramait dans le village de nos hommes. Il y alla donc à pied , le village n' étant qu'à une vingtaine de lieux et notre ami étant un homme assez sportif . Cependant , en marchant , il ne se rendit pas compte que le temps se dégradait à vu d 'œil et qu'un gros orage se préparait . Alors qu'il arrivait au village et que les premières gouttes se faisaient ressentir , il aperçut des ruines de maison . Il courut à grandes enjambés jusqu’à l' abri le plus proche qui n'était autre que la maison des Leroy . Alors qu'il rentra dans la demeure un curieux panache de brune envahit les lieux . Il n' y mit qu'un pied et subitement,plusieurs dizaine de kilos de gravas lui tombèrent dessus et , entre les débris , une fois au sol , et dans le noir ténébreux de la pièce , il fut presque certain d' avoir aperçu une longue masse svelte s' éloigner d'un pas nonchalant mais il perdit connaissance peu après cette incertaine rencontre . Ce ne fut qu’une ou deux heures après son départ que les domestiques commencèrent à s' inquiéter de l 'absence de leur employeur . L'homme avait heureusement informé le cocher de son aventure et ce ne fut que peu de temps après qu'il fut secouru . De Lavaloi du rester plusieurs jours sans bouger car d' après le docteur, qui prit le comte pour un miraculé , car il ne c' était que cassé un ongle , il devait quand même se remettre de ses émotions . Mais notre homme avait décidé de ne rien dire à personne sur cette étonnante rencontre pensant que son imagination lui avait joué quelques tours . Ce ne fut que quelques jours plus tard , lorsqu'il fut remis d' aplomb qu'il eut droit à une altercation très singulière avec la grand mère Mafrenge . Je vais vous rapporter les paroles que mon grand ami le défunt comte De Lavaloi a entendu :
<< Vous vous y êtes risqué , mon jeune ami , mais vous n' y retournerez pas . Oh non car vous l'avez vu et je vois dans vos yeux que vous l' avez vu … non vous ne retournerez pas là-bas , il vous a fait du mal , il est le mal , depuis toujours il nous fait mal !!! >> Mon ami , surpris de ce que lui disait la vielle femme , lui conseilla d 'aller dormir un peu . Ce fut sans doute la pire chose qu'il n'ait jamais fait de sa courte vie . Cette femme avait pourtant raison , mais notre ami ne le savait pas , oh non , il ne le savait pas ! Les soirs de fête du village où il ne venait pas et où on racontait les légendes du pays , c 'est ces soirs là qu'il n'aurait pas du louper car il aurait appris que cette famille , les Leroy étaient hantés depuis plusieurs générations par cette chose , cette créature , ce monstre , cette atrocité que dis-je cette horreur . Oui cette <<horreur>> serait le terme idéal pour vous parler de cette abomination . Mais d 'abord laissez moi vous contez la légende de << l'homme svelte >> . Il y a très longtemps , même peu être au Moyen-age , on dit que les Leroy , autrefois les seigneurs de la contré , étaient les gens les plus terribles seigneurs du pays . Lorsque qu'ils décidaient d' arrêter quelqu'un , pour un motif quelconque , ils le torturaient jusqu’à la mort . Un jour qu'ils avaient
arrêté un marchand de passage en roulotte , c'était un bohémien de quelques pays à l' ouest de l' Europe , ils l' avaient donc mis au arrêt et projetaient de le torturer lors d' une de leur habituelle séance de violence . Oh oui ! les Leroy étaient des gens d ' une cruauté sans nom et un bien grand nombre de litres de sang avait du couler dans les caves du château . Le marchand , apprenant son sort , décida donc de jeter une malédiction sur la famille jusqu'à la fin des jours . Il invoqua l'esprit de l' homme svelte . Cette créature avait pour mission d'enlever puis tuer chaque enfant cadet de toute les branches de la famille Leroy . Et ce qui devait arriver arriva . Un membre de la famille Mafrenge eu deux enfants avec la cadette de l' époque de la famille Leroy . Et quel pauvre homme ! Il perdit sa femme et son dernier fils en même temps . Le triste personnage , pris d'un désespoir intense , se suicida le lendemain de la mort de la moitié de sa famille . La famille Mafrenge , sûre que ces morts à répétition n 'étaient pas banales , en accusa la famille Leroy et c'est ainsi que débuta le conflit entre les deux familles .
Mais revenons à notre homme, le comte De Lavaloi . Pris de surprise par cette drôle conversation avec la grand mère Mafrenge, il ne put s 'empêcher de retourner au village des Leroy . Il y alla cependant accompagné par son fidèle majordome , Henri . Lorsque il arrivèrent dans le village il décidèrent que le comte , armé d 'une hache , allait partir en exploration et que Henry allait rester prés des chevaux . Lorsque le comte pénétra pour une seconde fois dans le spacieux logement des Leroy , il reconnu le tas de gravats dont il avait été victime quelques semaines auparavant . Il décida de fouiller d'abord le rez de chaussée , à la recherche de quelconque signe de vie , pour vérifier les dires de la grand -mère Mafrenge . Après avoir fouillé le grand salon et la salle à manger , il décida d' entrer dans la cuisine . En entrant , quelle ne fut pas sa surprise en voyant le cadavre d'une femme de ménage, certainement une domestique , recroquevillée sous la table comme un vulgaire chien que l'on aurait abandonné là sans âme qui vive . Surpris par cette rencontre peu banale , il voulut aller chercher Henry . Il sortit donc de la maison dans l' espoir de voir la calèche a à peine cent mètre de la maison des Leroy . Mais quelle ne fut pas son étonnement lorsqu'il se rendi compte que la calèche n' était plus là . Son premier réflexe fut d 'abord d 'appeler Henry dans le village . Mais personne ne répondait . Pris d'un léger affolement , notre homme ne c’était pas rendu compte que , de nouveau , une épaisse brume c 'était levée . Et là , à travers les ruelles , cela devait être sur la place de l' église , semblait -il , notre ami aperçut , entre les arbres de la place , une étrange créature démesurément grande, aux bras et aux jambes d 'une longueur impressionnante , il crut apercevoir son visage mais non ,il n' avait pas de visage , il n ' y avait rien que le néant à l' endroit ou d ' habitude il y avait une tête . Et dans la troublante clarté de la scène , il semblait voir à travers ses pensés qui n ' était plus maintenant que de simples vapeurs en suspension dans sa tête , il crut entrevoir le corps au sol et au pied de cette créature , le corps du cadet de la famille Leroy , le jeune Eymeric . Pris d 'un puissant affolement , mon ami s 'enfuit à toute jambe a travers la forêt . Et ce ne fut que deux jours aprés q 'un paysan , à trente lieux du village ,le retrouva en sang , tous habits déchirés , recroquevillé sur lui même dans un fourré . Ce paysan le ramena au manoir car il l' avait reconnu , au plus grand soulagement des domestiques . Le compte fit donc , après plusieurs mois de repos , un récit, à moi même de se qu'il avait vu . Je le pris d'abord pour un fou , pensant qu'il divaguait suite à la perte de son fidèle majordome ; dont on n'à toujours pas retrouvé le corps ni la calèche qu'il conduisait si souvent;mais non , mon ami parlait vrai et pour lui la solution était simple : il voulait envoyer une patrouille d'hommes armé jusqu'aux dents dans le village . Personne ne l'écouta . Personne ne l’écoutait plus depuis des mois. Chaque jour, je venais le voir , et chaque jour , son état s’aggravait de jour en jour . Et un jour que j 'arrivais pour le voir , tout le monde au château était en larmes : le compte De Lavaloi avait été retrouvé mort dans sa chambre par une femme de chambre . Et voilà , je vous ais raconté la dernière aventure de mon ami le compte , qui a souffert des mois avant de mettre un terme à sa douleur , oui cette douleur qui l'aura rongé durant des mois mais pourquoi ?
Et maintenant dans les villages aux alentours on n'y croit plus à ces légendes qui font du mal au hommes . Ah non ! A part les vieux qui eux , connaissent la vérité , plus personne n'y croit à la légende de l'homme svelte ! Plus personne !
FIN