Prénom et Nom: Camerald Anarion (Occidentaux)
Sexe : Masculin
Âge: 35 ans
Région d'origine : La capitale
Physique: 1,80m 60kg
Métier: Cuisinier (tavernier)
* Créativité
* Œnologie
* Qualité Gustative
* Zoologie
Compétence au choix:
* Comptabilité
* Droit
* Marchandage
Maitrise de combat:
Archerie : 0
Armure légère : 1
Armure lourdes : 0
Combat à main nue: 1
Arme légère : 3
Arme lourde : 0
Partie Rôle-Play
Tout commença à la Capital, au matin, une journée où les rafales de vent secouaient les étendards de la brume, où la neige recouvrait les rues. Camerald lui, était dans la salle d’armes avec une poignée de soldats qu’il entraînait à l’escrime. Pour lui, ce n’était pas qu’une simple façon de se battre. C’était un art. Bien évidemment sa rapière, il l’avait fait forgé par son Père. La garde en or, était d’une finesse étonnante, la lame, en acier, était particulièrement bien affûtée. Elle ne pouvait pas trancher un homme en deux, mais le traverser ne demandait pas plus d’efforts que du beurre. Il ne s’en servait jamais pour tuer des animaux, préférant son marteau, beaucoup plus efficace.
Son épée ne tuait que lors des duels. Mais attention, pas n'importe quel duel, ceux à l'ancienne, une main dans le dos et une rapière dans l'autre. Il n’en avait jamais perdu le moindre, où que ce soit contre qui que ce soit, à chaque fois, il finissait par surprendre son adversaire d’un coup d’estoc terrible qui mettait un terme à la vie de son rival. Face aux soldats, les combats n’étaient pas « à mort ». Mais il arrivait régulièrement que l’un d’entre eux soit blessé. Sophia, une charmante disciple de Camerald, n’était heureusement jamais loin. Selon la gravité de la blessure : elle rouspétait de toujours devoir soigner les mêmes blessures puis elle la soignait ou elle refermait la plaie puis, elle rouspétait.
Ce jour-là il n’y eut pas de blessé, tout se passa admirablement bien. Une fois l’entraînement terminé, Camerald choisit de rentrer chez lui.
Aussitôt rentré, Il descendit à la cave, prit l’énorme bassine, la remonta et la posa dehors. Il prit également une pelle. Il s’en servit pour la remplir de neige qu’il laissa fondre au coin du feu. Au bout d’une heure, l’eau fut tiède, Camerald commença à se déshabiller et, avant qu’il ne soit nu comme un vers, courut verrouiller la porte. Une fois qu’il fut sûr que personne ne pouvait le déranger, il finit de se déshabiller, et plongea dans son bain. L’eau chaude, au contact de sa peau, lui procura une sensation de bien-être qu’il n’avait plus ressentie depuis longtemps. Alors il se mit à naviguer parmi ses pensées, ses inquiétudes et ses joies. Il se rappela qu’il fut un temps, où il avait un ami, plus qu’un ami c’était comme un frère pour lui, ils se voyaient très souvent, au moins une fois par semaine, en fait, dès qu’ils avaient du temps libre, ils le passaient ensemble, leur seul sujet de discutions était la taverne dont gérait Camerald. Puis vint le jour où cet ami toqua à la porte comme les autres jours, puis comme les autres jours, il entra puisque la porte était déverrouillée, en fait, c’était un jour comme un autre, sauf que cet ami, était en train de pleurer. Camerald lui demanda ce qu'il se passait, il répondit dans un sanglot : "Je dois m'en aller." Ces mots claquèrent dans l’air et un long silence s’installa. Au bout d’un moment, il se rendit compte de ce que ces mots impliquait… Ils ne se verraient probablement plus ou presque… Bien sûr, les parents des deux amis, pour faire passer le chagrin leur disaient qu’ils se reverraient pendant les vacances, que les messages leur permettraient de garder le contact… Au début, cela fonctionna, puis petit à petit, le temps de réponse des s'allongeait, le peu de moment où ils se virent, ils sentaient qu’une distance non plus seulement géographique se créait… Ils savaient que ce n’était plus qu’une question de temps avant qu’ils ne se parlent plus et à terme, qu’ils ne s’oublient… Cette pensée fit couler une larme des yeux de Camerald qui alla se perdre dans son bain ce qui le fit revenir à la réalité.
Le jours passèrent , les semaines puis les mois, et plus aucun messages ne lui parvient, il décida d'aller voir à la garnison où son ami était avant qu'il ne parte. Et la ce fut le choc son ami était porter comme manquant , disparue lui a t'ont dit, après avoir demandé plus d'information il appris que son ami c'était rendue a Shinkoku, il s'était engagé dans l'armée pour pouvoir y aller.
Et sans plus attendre Camerald décida de quitter tout ce qu'il avait construit, sa salle d'arme, sa taverne, ses plus proches ami , pour aller sur les traces de son plus proches ami. Camerald se rendait à Okai la première région connue des occidentaux, en quête de réponse et surtout bien qu'il ne voulait se l'avouer en quête d'aventure!