*partie Hors roleplay : • Votre pseudo minecraft.net : Papnix
• Votre âge : Bientôt 18 ans !
• Vos expériences sur Minecraft en multi-joueurs : Et bien j'ai jouer sur Minecraft France, Espéria et bien sûr The Elder Prophecy
• Votre expérience en roleplay : Même remarque que précisé au dessus
• Quelques mots sur vous : J'aime la musique (guitare et basse), le sport (golf football américain) et bien sur les activités vidéoludiques en tous genre !
*partie Roleplay :
- Le nom de votre personnage : Halmenor Arentio
- Votre Race : Homme
- Votre Région d'origine : Mélianor
- Votre aspect physique et psychologique : Environ 1.85 m, corpulence robuste mais qui reste typique des Numériens. Cheveux brun, yeux vert. On le voit souvent habillé pour le voyage ou pour la bataille. Généralement armure de cuir, cape avec capuchon gris. Homme droit et juste, fidèle. Cependant il renferme une rancœur et un esprit de vengeance très fort. Pieux et fidèle, il vénère les douzes et Altar sans pour autant aimer l'ordre. Il suit ses propres règle, aussi bien religieuses que morales.
- Métier: Pisteur
- [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Profil: Force (11) Intelligence (9) Agilité (9) Charisme (9)
CompétencesCompétence
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| Éloquence
| -0- | Précision | -20- |
Acrobatie | -5- | Géologie | -0- | Qualité Gustative | -0- |
Anthropologie | -0- | Histoire | -20- | Soin | -0- |
Alchimie | -0- | Lancer | -20- | Survie | 20 |
Archéologie | -0- | Littérature
| -0- | Parler (commun)
| -50- |
Astronomie | -0- | Marchandage | -0- | Parler (autre)
| -0- |
Baratin | -5- | Mathématiques | -0- | Parler (autre)
| -0- |
Bibliothèque | -20- | Mécanique | -0- | Psychologie | -0- |
Botanique | 0 | Meneur | 20 | Pistage | -20- |
Chanter | -5- | Météorologie | 0 | Zoologie | -0- |
Comptabilité | -10- | Minéralogie | -0- | Les compétences de combat | ***
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Créativité | -0- | Monter à cheval | -25- | Archerie | 20 |
Dessin | -0- | Nager | 10 | Armure légère
| 30 |
Discrétion | 15 | Occultisme | -5- | Armure lourde
| 0 |
Dissimulation | 10 | Œnologie | -0- | Combat à main nue
| 5 |
Diagnostique | -0- | Outillage | 0 | Arme Légère | 40
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Dressage | -0- | Pharmacologie | -0- | Arme lourde
| 0
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Droit | -5- | Piété | -10- |
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*Une Partie récit :Vous entrez dans la taverne de Brétold. L'atmosphère est emplie de fumée et diverses senteur plus ou moins agréable, vous trouvez alors une table pour vous asseoir. La taverne est pleine d'homme en tout genre, la prophétie à ameuté beaucoup d'aventurier et brétold est le point de départ de cette aventure. Vous regarder autour de vous après avoir reçu votre peinte de la charmante serveuse. La soiré se passe sans plus de péripéties cependant vous regarder un homme au fond de la salle, l'ombre cache son visage, la fumée de sa pipe aidant à obstruer votre vision. Intrigué par ce personnage vous vous rapprochez du comptoir pour interroger le tavernier.
« -Que puis-je faire pour vous ?
-Et bien je me demandais si vous connaissiez cet homme qui est au fond. Il m'observe depuis un moment mais je ne sais pas qui il est.
-Oh ! Vous voulez parler du Rôdeur... Certains disent que c'est un numérien mais personne ne le connaît vraiment. On raconte que son pays est bien loin d'ici désormais. I fut un temps où il avait femme, foyer et enfant. Mais ces temps sont révolus. Vous devriez aller lui parler si vous voulez en savoir plus »
A ce moment, l'homme se lève et part, vous décidez de le suivre. Vous sortez et l'apercevez tournant au coin de la rue. Vous courez dans cette direction et arrivé dans la ruelle, personne... Mais au moment ou vous vous retournez, l'homme vous saisit et vous plaque au mur.
« -qui êtes vous ! Dit-il avec force.
- je ne suis qu'un voyageur, je... je ….
-Vous tremblez comme une feuille, vous ne pouvez pas être l'un des leurs. » L'homme vous repose à terre et vous laisse un peu plus d'espace.
« -Pourquoi me suiviez vous ?
-Et bien vous m'avez longuement observé à la taverne et vous me donnez une impression de déjà vue, mais ma curiosité est une mauvaise chose.
A ce moment là, trois hommes, armés et vêtus de cuir, arrivent par un bout de l’allée.
« -Je crois que ça va pas être ton jour ! »
Sans plus d'attente les trois hommes attaquent et un terrible combat s'engage. Vous manquez de peu un terrible coup d'épée et vous tenter de riposter mais l'homme arrive à bout du dernier agresseur.
« -Voila qui je recherchais, maintenant, c'est bon... Venez, je crois qu'après tout cela, un petit tour à la taverne ne vous refera pas plus de mal. »
Livide mais heureux d'avoir survécu à cette soirée chargé de péripéties vous suivez une fois de plus l'homme jusqu'à la taverne. Vous prenez place dans le fond et écoutez avec attention.
« bon et bien après tout ce que vous avez vue, je pense que je peux vous raconter mon histoire mais celle ci restera entre nous. »
Vous acquiescez sachant au fond de vous que cette soirée restera à jamais dans votre mémoire.
« Et bien mon père était un homme respecté et proche du seigneur Merald. Très jeune, j'appris les rudiments de la guerre mais aussi les codes de la morale et de l'honneur. A mes 16 ans je pu intégrer l'armé et faire mes preuves. A 21 ans je fut nommé chevalier et général des armés du Nord. Alors que les guerres du nord battaient leur plein je fis la connaissance d'une femme extraordinaire qui devint ma femme. Elle m'offrit un fils. Et à l'aube de mes 28 ans l'empire atteignait son apogée et les guerres de pacification arriveraient bientôt à leur termes. La paix et le calme allaient pouvoir régner. Mais il me restait alors une dernière bataille à livrer. Dans les grandes plaines d'Huskaral, les derniers peuples barbares qui résistaient encore à l'autorité impériale se tenaient là, près à en découdre. Malgré mon expérience des combats, chaque nouvelles batailles m'attristaient et la perspective de tuer encore ne me réjouissait pas mais la paix nécessitait un dernier sacrifice :
-Aujourd'hui, nous combattons encore une fois pour la liberté. Je sais je sais, cela fait bien longtemps que nous avons quitté notre patrie et certain on presque oublié le goût de la liberté mais rappelez vous ce pour quoi vous combattez. Je suis fier de me tenir à vos côté et je ne vois que de terrible guerrier, je suis sûr que pour chacun d'entre vous tombé au combat, 100 d'entre eux mourront. Au delà de cet enfer, il existe un endroit unique, une ville dont la splendeur illumine Altar lui même, nous nous battons pour notre capitale. La bas j'y est rencontré un homme extraordinaire. Un homme guidé par la raison et la justice ! Un sage qui ma enseigné que tous les hommes sont égaux, aujourd'hui nous combattons en frère. LA VICTOIRE OU LA MORT !
-HUUUAAAAA !!!
Très vite la charge fut donné par les barbares, leur nombre leur donnait un léger avantage mais nos hommes était mieux entraîné et prêt à en découdre. Après un déluges de feu et de flèches, leur force était toujours aussi féroce. A la tête de ma cavalerie je pris le flanc droit. Après avoir dépasser le petit bois nous priment la direction de la colline qui nous séparait de notre destiné. Les chevaux, galvanisé par les hommes ne mirent que peu de temps à gravir la colline. Une fois en haut nous découvrîmes le théâtre des opérations. Le spectacle, d'une rare beauté nous gonfla de courage et de peur mais nous savions tous que l'issue de cette bataille serait décisive. La charge fut donné avec une violence inouï, on aurait pu entendre le bruit des corps balayé par les chevaux à 18 lieux. Au cœur de la mêlé je fut renversé. Alors que je tombais au sol, je perdit mon glaive. Le temps de me relevé un homme aussi gros qu'une montagne surgit, un immense marteau de pierre à la main, le temps de réagir cette immense masse s'abattit sur moi. J’eus heureusement le temps de rouler sur la gauche. Le rock fit trembler la terre. Pas le temps de réfléchir, un autre homme surgit de la droite et manqua de me transpercer de sa lance. Après une légère esquive je me saisit du bâton et dans une rotation des hanches fit voler par dessus moi l'homme qui alla s'écraser à terre. Aussitôt un homme surgit derrière moi mais je n'était pas en position d'esquiver, je m'apprêtais à recevoir la blessure quand soudain je vis la tête de l'homme voler. C'était Camerald qui passa à tout allure avec sa puissante monture noire. J'eus alors un moment de répit assez pour voir le géant prêt à balayer son cheval. En un instant j'envoyais la lance qui alla se ficher dans le cou du barbare, la grande masse tomba à terre avec fracas. La suite du combat fut toute aussi sanglante. Bientôt les derniers rebelles furent écrasés. Mon rêve d'une patrie en paix allait prendre forme. Cette grande victoire annonçait peut être le début d'une ère nouvelle. Au retour du front, nous découvrîmes que l'empereur lui même était venue nous féliciter. L'on festoya toute la nuit bien que les soldats fussent harassés. Peu après, le seigneur m'invita dans sa tente.
-Force et honneur mon seigneur, nous avons vaincu et l'empire retrouve la paix qu'il a toujours souhaité.
-Oh tu sais Halmenor, il y aura toujours un ennemi de la liberté. La guerre est une des chose que l'homme fait le mieux mais si je suis venu ici ce n'est pas pour t'embêter davantage car aujourd'hui tu a servit l'empire pour la dernière fois. Cela fait 12 longues années que tu me sert fidèlement comme ton père avant toi et je ne puis t'en demander plus, que veux tu ?
-Je souhaiterais retourner chez moi si vous le permettez.
-Mais dis moi Halmenor où est ton foyer.
-J'ai une petite propriété paisible dans l'Edenbroc. J'y cultive le blé en été et quelques légumes. Je ne souhaite que retrouvé mes terres, ma femme mon foyer et mon fils.
-Très bien Halmenor, je ne peux te le refuser mais permet moi de te demander une dernière chose.
-Tout ce que tu voudras seigneur. (Halemnor s'agenouille)
-Comme tu le sais nos conquêtes nous ont menées loin mais les menaces de la liberté demeures.
-Plus aucun peuple ne peu menacé l'empire et sa capitale. Sa splendeur n'a pareille égale. Il est vrai que cela fait bien longtemps que je n'y suis plus allé. Comment se porte Calendras ?
-Il n'est malheureusement plus des nôtres, tu sais notre chère capitale n'est plus la ville que tu imaginait. Les conquêtes ont peut être dissuader les ennemis extérieur mais notre peuple doit faire face a d 'autre ennemis encore plus terrible. La capitale n'est plus qu'un nid de frelons depuis cette prophétie? (le seigneur fait voler la corbeille de fruit sur la table et porte une main à son front, fébrile.). J'ai encore une ultime mission.
Viens à la capitale et prépare toi a me succéder. Je ne peux laisser les raines de l'empire à mon jeune fils, Gomorald, son orgueil nous perdra tous, il n'est pas prêt a gouverner...
-Tu me fait un bien trop grand honneur seigneur mais je ne suis que simple chevalier les nobles n'accepteront jamais de me laisser prendre le trône et que dire de vôtre fils.
(le seigneur s'approche et me saisit par les épaules, je peu déceler une once de peur dans se yeux)
-Il ne me reste plus beaucoup de temps, tu dois rentrer et assurer la pérennité de l'empire.
-Je ne sais …
-Je t'en supplie, tu dois sauvez notre peuple ! (Je ne savais plus quoi répondre et mon doute était apparent). Excuse moi Halmenor (L'homme laisse paraître des larmes), j'aurais du préparer l' empire. J'aurais du …
A ce moment, Gomorald entre dans la tente interrompant notre discussion.
-Père bravo pour cette grande victoire... Mais qu'il a t-il ?
-Oh rien mon fils, je félicitait Halmenor pour avoir si bien mener nos hommes jusqu'à la liberté même si beaucoup d'entre eux ont du en payer le prix.
-Il est vrai que vous avez défendu notre empire avec ferveur et je vous en remercie. Pouvez vous me laisser un instant avec mon père. (Sur le moment je ne pouvais cacher la gravité de mon regard, je m'inclinais et sortit)
-Très bien seigneur.
Je sortit, laisser le père et le fils.
-Très bien père, je vois que ton règne a apporté la liberté et la paix et je pense qu'il est temps pour toi de te reposer. Tu as rendu notre peuple plus fort que jamais et notre splendeur n'a pareille égale. Père. Je suis prêt à te suivre pour l'honneur et la gloire de notre patrie. Je me sens prêt et je pense que tu dois désigner ton successeur.
-J'ai pris ma décision, mais tu dois être fort. Tu devra toujours protéger notre peuple et ne jamais te détourner du code d'honneur.
-Je suis prêt père.
-Aujourd'hui, j'ai décidé que le trône de l'empire reviendrait au peuple...
(Cette révélation mis du temps pour que Gomorald en prenne pleinement l’enjeu)
J'ai décidé que dorénavant l'autorité sera représenté par un concile dirigé par une assemblé de noble élu par le peuple. Je souhaite désormais affirmer le fait que tous les hommes sont égaux. J'ai chargé Halmenor de porter la nouvelle et garder le trône jusqu'à la mise en place du concile.
-Mais comment peux-tu... Non c'est impossible ! Qu'y a t-il en moi que tu déteste tant. Depuis ma jeune enfance je n'aie cesser de vouloir t'impressionner. J'aurais mener nos hommes jusqu'au bout du monde pour que tu m'accorde ne serait qu'une seul félicitation. Qu'y a t-il en moi qui te répugne tant. (L'homme tombe à genoux)
-Tes erreurs de fils sont mes erreurs de père... Je veux que tu protège notre peuple en ne laissant jamais personne l’opprimer à nouveau. Embrasse moi à présent et sois fort.
Il se relève et prend son père dans ses bras, entre la tristesse et la colère, il serait de plus en plus fort son père... puis le relâcha et sortit.
-Demain je repars pour la capitale annoncer au peuple ma décisions.
Le lendemain je préparais mes affaires pour mon retour en pensant à ce que l'empereur m'avait dit mais je ne pouvait pas me résoudre à entrer dans un conflit dont je ne pouvais mesurer toute l'importance. Ce genre de bataille m'était inconnu et mon combat pour l'imperium s'achevait avec ces dernières batailles. Mon service s'achevait à présent, j'allais enfin pouvoir retourner chez moi ou pas...
-Général général !! Le convoi du seigneur à été attaqué, un de nos soldats a pu revenir.
-Scelle mon cheval et rassemble mes meilleurs hommes ! Maintenant !
Stupéfait je pris mon glaive, enfila mon armure et sortit de ma tente. L'endroit où avait eu lieu l'embuscade m'était bien connu et était un endroit risqué mais les barbares de la région avaient tous été anéantie. Je pris le départ dans le doute. Nous chevauchâmes avec ardeur jusqu'au funeste théâtre. Nous ne trouvons alors que des cadavres. Mais qui avait bien pu les attaquer ? Il n'y avait plus d'ennemis ! En faisant le tour des corps je pu découvrirent un indice stupéfiant.
-Qu'y a t-il Halmenor ?
-C'est impossible !
-Qu'est ce qui se passe ?
-Regarde ces pointes de flèche, ce sont des pointe crénelés et les barbares de cette régions n'en fabriquent pas.
-Des Sarnides ?
-J'en ai bien peur, mais une question se pose alors. Que font ces mercenaires du Sud si loin de leur patrie ? Tout cela ne me dis rien qui vaille...
Au même moment un cor retentit et il ne fallut que peut de temps pour apercevoir Gomorald.
-Pleure avec moi mon frère notre seigneur est mort !
Il y avait quelque chose dans sa voix qui ne me donnait aucune confiance.
-Heureusement notre seigneur, dans sa plus grande sagesse, m'a confié à temps la garde du royaume.
(Les gardes en cœur : Vive l'empereur longue vie au nouvel empereur !)
-Alors Halmenor, me voueras-tu ta vie comme tu la fais avec mon père. Il me tend sa main.
-Je n'ai que trop tué, votre père m'a rendu la liberté, mon service s'arrête ici. Je baisse la tête et marche droit vers nos chevaux. Je reprend moi et mes hommes le chemin du camp. Sachant pertinemment que cette embuscade n'était plus le fruit du hasard. Camerald m'attend devant ma tente, j'entre en trombe.
-Prépare toi mon frère nous rentrons, le seigneur vient d'être assassiné.
A cette révélation il passe dans l'autre pièce, choqué. Il ne faut alors que peu de temps pour voir arrivé Glatos dans ma tente.
-Que veux-tu Glatos ? Mais... attend... pourquoi es-tu armé !
-Saisissez le ! Par ordre du seigneur. Aussitôt 4 soldats entres et me saisissent sans que je ne puisse réagir.
-Tourne toi. Il me neutralise et je peux apercevoir Camerald à travers la paroi de lin qui me montre mon épée. Je lui fait un signe négatif et il comprend qu'il doit fuir.
-Le seigneur a ordonné ton exécution et c'est sans appel.
-Regarde moi Glatos, REGARDE MOI ! Promet moi de veiller sur ma famille !
-Ta famille t'attend déjà dans l'autre monde.
Nous sortons de la tente et nous partons à cheval. Il ne faut que peu de temps pour atteindre le petit bois que nous dépassé hier. Il est temps pour moi de rejoindre mes ancêtres. Je m'agenouille la tête haute.
-Accorde moi une mort de soldat.
Le soldat acquiesce et s'apprête à me transpercer au niveau de la nuque. L'épée s'élève et brille grâce au soleil qui philtre a travers les feuillages. C'est un bon jours pour mourir. Je ferme les yeux et me prépare au long voyage... Le sang jaillit et l'homme s’abat à terre... une flèche dans le plexus.
Il me faut du temps pour comprendre que ce sang n'est pas le mien, aussitôt deux autres flèche terrasse le reste des gardes. Je lève les yeux et j’aperçois le visage de Camerald. Les gardes restés non loin nous remarque et dégaine a leur tour. Libéré de mes chaînes je peux saisir une épée et me lancer dans le combat. Un cavalier s'élance et je ne peux tout a fait l'esquiver, il me touche à l'épaule mais Camerald l'abat d'une flèche bien ajusté.
-Lève toi mon frère, Altar ne veut pas ta mort... du moins pas aujourd'hui.
Je ne comprenait pas ce qui se passait et il me fallut un peu de temps pour revenir à moi Nous décidâmes alors de partir. Nous prîmes la direction des terres de l'Edenbroc sachant que ce qui nous attendait ne serait pas des plus réconfortant. Après des jours de voyage nous arrivâmes exténués. Le spectacle fut alors sans pareille. Mes terres autrefois florissantes étaient dévastées, mes serviteurs massacrés. Je me mit aussitôt en route vers ma demeure où le pire m'attendait. Je ne pu resté debout, mes genoux heurtèrent le sol. Je retrouvais enfin ma femme et mon fils mais leur cadavres encore fumant du massacre m'étais insupportable. Camerald restait interdit. A ce moment, j'ai cru ressentir toute la douleur du monde en pleine face. Je ne souvient plus de ce qui s'est passer ensuite, je me suis réveiller dans une carriole en partance pour Brétold. Camerald bien qu'amoché était à mes côtés. Il me raconta par la suite ce qui c'était passé, comment après mon évanouissement, ils avaient été attaqué par des brigands et qu'après son combat acharné ils avaient fuit. »
Après ce long récit vous restez sans voix, Halemnor se lève, et vous faisant signe, quitte la taverne...